Une diminution de 6 % du risque d’apparition du cancer du sein a été mise en évidence par heure d’activité physique pratiquée dans la semaine et ce, quel que soit le niveau de corpulence des femmes.
L’APA possède une action sur l’insuline, ce qui influence les facteurs de l’IGF (Facteur de prolifération des cellules cancéreuses). Elle contrôle le poids, améliore les mécanismes immunitaires, la qualité de vie, l’image de soi et l’adhésion aux traitements. L’APA préserve la densité minérale osseuse, diminue les taux plasmatiques d’estrogènes, l’inflammation. Elle réduit également la fatigue de 36 %, quel que soit le moment de la prise en charge du cancer, la leptine (hormone permettant de favoriser la prolifération des cellules cancéreuses) et le risque de récidive de 50 à 60 %.
Plus les pratiquants passent du temps à faire de l’exercice à intensité modérée, plus le risque de mortalité diminue.